l’impact sur les occupants 

Une récente étude de l’Observatoire de la Qualité de l’Air Intérieur (OQAI) révèle que 37% des logements présentent des micro-organismes sous cette forme. Attention : 64% des contaminations sont masquées lors d’un simple examen visuel.

les diffférents types de pollutions de l’air

  • brève ou chronique 
  • visible (fumée) ou invisible (pesticides dans l’air, benzène de l’essence) 
  • émise massivement ou en faible dose 
  • émise en quantité dispersée (exemple : pollution émise par les centaines de millions de pots d’échappement) 
  • locale et émise par une source fixe (exemple : cheminée, usine), ou émise par des sources mobiles (épandeurs de pesticides, transport routier, maritime ou aérien
  • naturelle (exemple : feux de forêt) ou d’origine anthropique.

la qualité de l’air occupe une part primordiale, laquelle dois être surveiller de très près

Il impose une surveillance de la qualité de l’air intérieur pour les propriétaires ou exploitants de certains établissements accueillant des populations sensibles ou exposées sur de longues périodes.

Particules

Selon une étude réalisée de 2008 à 2011  les émissions de particules fines proviennent à 34 % du chauffage domestique, 31 % de l’industrie, 21 % de l’agriculture et 14 % des transports. La part du transport était toutefois plus élevée en ville.

Un air purifié !

Le vent et la chaleur a une influence sur le déplacement de l’air et de sa pollution.

En cas d’anticyclone, principalement dans les îlots urbains et les vallées étroites de montagne, la pollution peut stagner pendant plusieurs jours voire plusieurs semaines, affectant particulièrement les personnes fragiles.

C’est le cas de certaines villes,  la commune peut décider de restreindre la circulation de certains véhicules à moteur thermique ou prendre des dispositions pour réduire l’utilisation du chauffage au bois et l’activité de certaines industries.

- Fluder-SA

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